Tél Aviv sous les bombes. Ce matin, une partie de la ville s’est réveillée sous les décombres. Les frappes iraniennes, d’une intensité inédite, ont touché plusieurs infrastructures stratégiques israéliennes. Israël compte ses morts, ses blessés et tente de panser ses plaies. Mais, derrière ces images de destruction, un constat s’impose : la guerre est loin d’être terminée.
Une riposte massive en préparation
Selon plusieurs sources sécuritaires, l’Iran préparerait une attaque d’envergure jamais vue dans la région. Un plan d’assaut en trois phases serait déjà dans les cartons de Téhéran. Objectif : submerger et saturer le système de défense aérienne israélien, notamment le fameux Dôme de fer.
1️⃣ Première phase : lancement massif de drones kamikazes, véritable diversion pour épuiser la défense israélienne.
2️⃣ Deuxième phase : envoi d’une seconde vague de drones plus sophistiqués pour ouvrir le ciel aux projectiles lourds.
3️⃣ Troisième phase : déferlement de missiles balistiques – non nucléaires, selon les premières informations – visant des sites militaires et énergétiques clés d’Israël.
Le Pakistan entre dans la danse
La déclaration ce matin du Ministre pakistanais de la Défense a jeté un froid sur la scène internationale : « Le Pakistan va aider l’Iran par tous les moyens. » Islamabad s’engage ainsi, pour la première fois de manière ouverte, aux côtés de Téhéran, transformant le conflit israélo-iranien en une crise régionale majeure.
Une médiation russe ignorée
Face à cette montée des tensions, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu aurait sollicité l’intervention de Vladimir Poutine pour jouer le rôle de médiateur avec l’Iran. Mais jusqu’ici, le Kremlin garde le silence. Une neutralité inquiétante qui laisse le champ libre à une confrontation directe.
Vers un embrasement régional ?
La crainte grandit d’un embrasement généralisé du Moyen-Orient. L’implication possible de puissances régionales comme le Pakistan laisse présager un basculement du conflit vers une guerre ouverte impliquant plusieurs États.

Pendant que Tél Aviv panse ses plaies, Téhéran affine ses plans. La diplomatie internationale, elle, semble figée, comme suspendue au fracas des prochaines heures.